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A. augmentation du seuil de stimulation atriale
B. arythmie atriale
C. défaut de détection atriale
D. stimulation ventriculaire inefficace
E. fréquence minimale programmée à 60 battements/minute
A. il existe un blanking ventriculaire post-détection atriale
B. il existe un blanking ventriculaire post-stimulation atriale
C. il existe une fenêtre de sécurité ventriculaire post-détection atriale
D. il existe une fenêtre de sécurité ventriculaire post-stimulation atriale
E. une détection ventriculaire pendant la fenêtre de sécurité entraine une stimulation ventriculaire 100 ms après le stimulus atrial
A. il s'agit d'une TRE
B. il s'agit d'une tachycardie sinusale
C. il s'agit d'un défaut de détection atriale (signaux de petite amplitude)
D. il s'agit d'un flutter 2/1
E. le stimulateur est replié en mode DDI
A. la commutation survient à la suite d'un bigéminisme atrial
B. la commutation survient à la suite d'une écoute croisée
C. la commutation survient à la suite d'un flutter atrial
D. la commutation survient à la suite d'une FA
E. la commutation survient à la suite d'une surdétection de bruit
A. la fréquence maximale synchrone est programmée à 120 battements/minute
B. la TRE démarre à la suite de la survenue d'un doublet d'extrasystoles ventriculaires
C. la programmation du VIP favorise la survenue d'une conduction rétrograde
D. pour confirmer l'existence de la TRE, le dispositif modifie le délai AV sur un cycle
E. pour interrompre la TRE, le dispositif allonge la PRAPV sur un cycle
A. il s'agit d'un épisode de TV
B. il s'agit probablement d'une TRE
C. il s'agit probablement d'une tachycardie sinusale
D. il s'agit probablement d'une FA
E. il s'agit probablement d'un flutter 2/1
A. il s'agit d'un épisode de tachycardie atriale
B. il s'agit d'une TRE
C. il existe une augmentation de seuil atrial
D. dans la seconde partie du tracé, l'activation atriale est rétrograde (AR)
E. dans la seconde partie du tracé, la stimulation atriale est inefficace car en période réfractaire atriale
